Campagne - Livre des 5 anneaux
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Genpuku livre 1 (A Corriger!!!)

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Message par yukitsune Jeu 27 Juil - 18:43

En ce début de printemps à la forteresse de l’empereur, tout me semblait calme à rokugan. Les marchands vaquaient à leurs affaires, mes entrainements se suivaient les uns et les autres. Le temps passait doucement mais surement, au travers des victoires et défaite obtenu au cours de chaque journée.
Pourtant c’est à cette époque que tout commença. En une soirée ma vie avança sur le chemin laborieux du Genpuku. J’avais passé ma soirée à la forge, afin de rendre l’un de mes premiers travaux pour une personne qui me tenait à cœur.
J’appris par un heimin qu’on désirait me voir. Le feu, la chaleur m’engluait encore quand je sortis de l’antre. En sortant kuni san était présente, fils unique d’une grande je ne pouvais lui daigner le droit à une entrevue. Il portait comme à son habitude un kimono d’une excentrique couleur, voulant montrer certainement sa supériorité aux autres. Pourtant son manque d’étiquette au cours de la conversation qui suivit marqua tout le contraire.

Il était jeune maladroit avec les mots et les notions de rang. Son regard vif pourtant démontré une soif d’apprendre et une intelligence à ne pas sous-estimer. Quand cela aura murit les gens qui l’auront mésestimé le regretteront amèrement.
Son frère l’accompagnant semblait plus convenu à l’étiquette, peut être grâce à son statut de moine, plus vieux que moi de quelques années je lui devais un certain respect.
J’apprit par leur intermédiaire, la rumeur de notre propre Genpuku. Oui de notre Genpuku. Car selon les dires que je l’ai laissa exprimer avant de me retourner durant un moment de la conversation ou toutes leur attention était tournée l’un envers l’autre oubliant jusqu’à ma présence, me laissant une excuse pour m’éclipser, de cette folle spéculation.
J’envoya tout de même un messager demander avis à ma Sensei. Dans la soirée le messager était revenu me donnant rendez-vous avec elle. Au cours d’une brève entrevu avec ma maitresse ou elle me mit à l’épreuve de l’arc, j’obtins une réponse. Effectivement, je devais les amener en dehors du mur, et trouver la bête qu’il devait abattre, une mission difficile pour mon Age.
Sur ce faite je repartit passer la soirée au cœur de la bibliothèque là ou se réunissait mes futurs frères d’armes. La confrontation fut abrupte mais simple. Tous là certains à jauger d’autre à déjà discuter du future voyage.  Chacun d’eux avait ces compétences et ses qualités, ainsi que ces défauts.
Le membre de la famille akudo, que je connaissais bien était égocentrique, centré sur lui-même et dans la réussite de son combat. Sa gueule carrée, son phrasé sans aucune étiquette le faisait passer pour une grosse brute, mais son esprit stratégique était un atout. Je priais déjà pour qu’aucun camarade de route ne lui veule à sa vie pour son manque de considération de leurs opinions. Dans tous les cas j’essaierait d’adoucir les tensions pour que cela se passe bien.
Il y avait aussi Kuni son frère, ainsi qu’un membre de la famille du moineau. Ses habits simples par-dessus une armure de cuir. Son regard et sa parole révéla toute suite une personne sincère, et au regard franc. Son regard noir trainait par endroit, ses mains couvertes de calles ainsi que certains de ses membres laissait entrapercevoir des muscles fermes et des légères cicatrices que seule une personne entrainait au combat pourrait avoir.
Pour finir le tour de table, une belle jeune fille aux lourdes cuisses, et au cheveu étranger, qui émanait une volonté de liberté qui semblait restreint par quelque mauvais souvenir, et certainement le code des samurais.  De mon point vu je dirais simplement qu’elle avait tout de la jument en cage. Et sa diction hésitante ne me fit que confirmer cela. Un esprit vil pourrait chercher à l’influencer. Espérons qu’avant que cela arrive la jument trouve le loquet de la cage, ou une personne qui lui ouvre sans réelle arrière penser.
Durant la nuit attendant, j’eus des cauchemars un présentiment qui perdurait depuis mon enfance. Le matin, les douces lueurs de l’aube me réveillèrent.  Je m’équipai, alla jusqu’à la porte de la ville et attendit, toute la compagnie arriva à l’heure. Je fus ma fois impressionner par le cheval qui accompagnait le membre de la famille de la licorne.  Mais lorsque le moment fut enfin venue de quitter notre ville, la chevalière fit preuve d’un manque d’habilité qui la mit en retard sur la marche déjà commencé du reste du groupe.

Lorsque la faim se fit sentir, je partis avec la personne du clan du moineau à la recherche de quelques bois. Nous trouvâmes une maison abandonnée. J’y fus attaqué par quelque rats de passage mais aucun ne purent réellement me toucher.
Avec les quelques buches récolter, nous fiment un feu et prit une pause autour de quelques jeux de go ou le jeune homme kuni me battit.
Après ce repas et ces divertissements nous repartîmes.
Le soir nous atteignîmes notre premier village, ou les heimins nous hébergea nous n’eûmes guère de difficulté, et certains d’entre nous profita de la soirée pour s’entrainer.
Ainsi ce passa l’ensemble de notre voyage, à l’exception de quelque évenement lors de la 8 -ème soirée ou les choses commencèrent à déraper. Dans ce village était présent quelque ronin accompagnant la caravane d’un très bon producteur de sakée surnommée le bon compagnon.
La soirée fut calme mais le matin fut catastrophique. A peine éveillée des cris et des rumeurs traversaient le village. On m’amena au reste du groupe à côté d’un homme au visage torturé et au membre retournée. Ce cadavre …., D’après mes compagnons, il était le gardien de sa maison, car sa femme attendait un enfant. Ce qui expliquait à ces cotés un bâton. J’essaya quelques veilles ruses pour débusquer la piste de l’asseyant mais ne fit au final que le tour de la maison, cela ne pouvait définitivement pas la résultante d’un homme.
Kuni fit preuve de ses talents de Shogunjat sorte de médiateur entre les esprits, et partit seule dans la forêt requirent l’aide des kamis. Elle revint avec un plan qui mettait en danger notre propre épreuve, car son plan demandait un grand temps.

Nous décidément d’envoyer un messager à la forteresse des ambassadeurs tandis que nous continuerons notre voyage.
Lors du  9 ème nous rencontrâmes une magistrat d’émeraude du clan de la licorne qui passa la cérémonie du thé avec nous.  Cela nous fit effectivement perdre un peu de temps mais savoir être amical avec les puissants et toujours une bonne chose. Malheureusement le jeune akudo eut quelques intenses échanges avec cette personne. Essayant de supporter ce malaise, je fis mon possible afin de le calmer, mais la magistrate s’amusa de lui essayant de voir jusqu’où sa provocation pouvait aller. Une situation difficile qui finit par une séparation des deux camps. La magistrate partis avec sa collègue de la licorne nous laissant durant quelques heures
En allant vers le premier avant-poste, la réserve, une forteresse impressionnante avec des murailles d’une trentaine de mètre.  Nous croisâmes des samurais accomplit qui habillait de noire ne semblait pas tous présenter leur MON.  Ils nous firent quelques gros sous-entendus sur la possibilité de nous délester.  Nous les ignoramment et passâmes la soirée à marcher afin d’atteindre l’avant-poste.
Epuisée nous y reposâmes durant un jour et demi. Nous réprimes le voyage vers la muraille toujours plus près d’autre-terre. Le vent perfide nous frôlant le dos les ombres semblant s’animer à chacun de nos pas. Nous arrivâmes le soir devant la forteresse.  Malheureusement il était trop tard les portes était déjà fermait nous décidâmes de monter le camp afin d’atteindre le petit matin.  Durant la soirée l’esprit de la victime que nous avions retrouvé plus tôt vint nous tourmenter. Expliquant sa détresse, l’esprit avait peur pour sa femme. L’enfant du clan licorne fit preuve d’un grand courage enfourchant son cheval partant avec l’esprit mais une heure plus tard revint épuisé et arrêter par les choses qui hante l’outre terre.
Nous arrivâmes à la forteresse à la lueur des premiers rayons du soleil. Ou on nous prodigua logement et nourriture. Le lendemain je trouva les doigts de jades nécessaires pour notre sortie dans l’outre terre.
Au petit matin suivant nous étions tous prêts, nous sentions la douce caresse de la mort nous effleurer à chaque pas, je regardais attentivement autour de moi tandis qu’un membre du clan Ida  nous accompagnait au porte de la muraille. Nous traversâmes la solide muraille contenant plusieurs tonneaux entreposant vivre et armement. Chacun de nos pas nous rapprochait de la frontière.  Je pris une grande inspiration, mes camarades les traits plissés exprimée eux aussi une grande tension. Je relâchai une expiration d’où émanait un léger brouillard et franchit l’ultime pas de la porte.
Dehors, la terre pervertis, la présence de la corruption se fit immédiatement ressentir. Mes épaules tendues je commença par faire avancer le groupe vers un petit bosquet, leur intimant le silence seule Akudo semblait insouciant.
Rapidement je trouvais les pas d’un bipède de bonne taille. Nous avançâmes suivant la piste encore chaude, arc et épée sortit.
J’avança au loin une forme marron, un tronc je ne pensais pas mais il fallait que je vérifie, faisant preuve de discrétion je m’approcha à une 30 mètre la flèche encoché.  La forme prit vit sous mes yeux tandis que mon cœur rata un battement. Un géant de deux mètres cinquante s’éleva avec à la main un tronc d’arbre. Un ogre. J’entrepris immédiatement d’effectuer un repli stratégique tout en fléchant la jambe de mon adversaire. Alors qu’il allait me balayer d’un seul mouvement la cavalière le percuta me sauvant probablement la vie sur le moment.
Le combat continua échangeant des coups, entre cavalier et ogre, les flèches partantes aussi vite que ma main le permettait. Puis un éclat de jade géant vola au milieu de la bataille percutant le monstre laissant un trou béant derrière lui. Il s’effondra sans autre forme de procès.
Une tête de coupé, nous avions la récompense que nous étions venus chercher mais au loin résonnée déjà les terribles renforts. Nous partimenti sans demander plus marchant au plus vite.
Quelques heures plus tard sur le trajet du retour nous découvrîmes 3 corps d’ogre étaler à terre.
J’avais un mauvais sentiment nous continuâmes un peu plus loin. La soirée s’approcher et notre camp fut établis à la frontière de vigne mortelle, enlaçant c’est proie, et étouffant ces victimes.
Durant la nuit la jeune enfant du clan licorne fit la garde grâce à quelque don elle pouvait voir dans la nuit un avantage stratégique précieux.
Une daibotsu s’invita au camp, notre garde l’ayant vus essaya de la neutraliser mais le cheval fut assommé d’un coup magistral. Elle s’approcha du shogunja, mettant sa tête au-dessus.
Au fur et à mesure chacun de nous éprouva le besoin de se réveiller. Et la daibotsu nous demanda ce que nous lui devons pour sa protection car effectivement c’était elle qui avait tué les ogres plutôt.
C’est ainsi qu’en pleine nuit nous fîmes une cérémonie du thé.
Mais à cause de ce bruit et de notre feu de camps nous appriment l’existence des rejetons de Furo O Oni.
Des êtres de laves et de puissance que vous avons eu bien du mal à combattre. Au début de l’affrontement le cheval les yeux éffrayé par ces créature d’un outre monde,  s’enfuit portant sa cavalière bien trop mal et fatigué pour la supporté.
Le combat fut rude je fus blessé ainsi que les autres membres du groupes.  Certains d’entre nous montrèrent de grandes compétences devant dépenser leurs limites akudo, se mit devant pour essayer d’attirer les créatures, je fis front avec mon arc et essaya en acte désespérer à la fin de planter les crocs de mes kamas dans la chair brulante des créatures.  La magie du shogunjat fit mouche mais notre moine prit les coups à sa place, ainsi que le moineau afin de le protéger.

A la fin du combat nos blessures nous décidèrent à retourner plus pressamment encore au chaud  de l’autre cote du mur.  Par quelques miracles je retrouvais le bosquet de nos débuts.
Un Ida nous y attendait stoïque il nous emmena jusqu’à la porte ou d’autre shogunjat nous examina essayant de déceler les traces de corruptions.  Ils nous accompagnèrent jusqu’au dispensèrent ou nous nous régénérames de nos blessures.
Je dus trouvais au cours de ce jour un kimono orange pour le shogunjat afin que selon lui à la cérémonie il soit présentable.

La céromonie ce déroula sans accro. Nous choisîmes chacun un noms, certains faisant preuve de plus d’étiquette que d’autre. Lorsque vint mon tour je fus encenser à contre volonté par ma sensei, faisant monter la jalousie de certaines personnes dans la salle.
La suite de la cérémonie lorsque nous bûmes notre saké eut un gros accros, car akudo accusa le membre des bayushi ou clan du scorpion d’avoir empoisonnée le saké. Cela ce finit par un duel ou la tête de akudo notre camarade roula sur les dalle de pierre.

yukitsune

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Date d'inscription : 18/06/2017

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